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Couteau Laguiole Franc-Maçon manche ébène et amourette, lame damas, tire-bouchon
Couteau Laguiole Franc-Maçon manche ébène et amourette, lame damas, tire-bouchon
La lame en acier damas et deux bois précieux assemblés, l'ébène et le bois d'amourette donne à ce couteau un aspect très précieux
Personnalisation
N'oubliez pas de sauvegarder votre personnalisation pour pouvoir l'ajouter au panierNous garantissons à vie ce couteau et ses composants.
Les frais de livraison vers la France sont offerts dès 89 € d’achats.
Ce couteau peut être réaffûté par nos soins tout au long de sa durée de vie.
Nous nous engageons à vous fournir un bon retour sous 30 jours si cet article ne vous convient pas.
Ce couteau est livré avec un certificat d’origine attestant de sa provenance.
Détails
- Manche en bois d'ébène et en bois d'amourette, plaquette de 8 mm
- La mouche est ornée du symbole de la franc-maçonnerie
- Mèche de tire bouchon à 5 spires
- Taille fermée: 12 cm
- Taille ouverte: 21.5 cm
- Dureté: 56 Hrc
- Poids: environ 90 g
- Lame en acier damas composé de 120 couches
- Mitres et platines en acier inoxydable massif
- Ressort en acier inoxydable de 3 mm forgé et guilloché à la main à la lime
- Butée de lame: pour éviter de frapper le fond du couteau à la fermeture
- Livré dans une boite cadeau noire aimantée avec une garantie à vie numérotée
- Avec étui cuir noir et affûteur
- Fabrication Française Artisanale.
En savoir plus sur le Damas
Le terme générique de ‘Damas’ indique la qualité d’un acier. Cette dénomination est issue des Croisés qui vers l’an 1000, ont découvert un acier encore inconnus alors, utilisé pour la fabrication des armes des Sarrazins.
Comment fait-on une lame damassée?
La technique dite du damasquinage consiste à accumuler de façon habile des couches d'aciers durs et tendres les unes sur les autres, ces différentes couches sont ensuite mises en exergue par un traitement à l'acide.
Le résultat: vous obtenez une lame atypique, à l'esthétique parfaite et au rendu unique.
Le damasquinage permet aussi d'apporter un peu de souplesse aux lames ayant un noyau en acier très dur, permettant de gagner en solidité.
Un peu d'histoire...
Il semblerait que les forgerons du Moyen Âge ne manquaient pas d'imagination et de ressources pour le traitement thermique de leur damas.
On retrouve dans des écrits anciens, des formules qui de nos jours paraîtraient irréelles... Un exemple? Certains d'entre eux recommandaient de tremper l'épée dans l'urine d'un jeune garçon roux ou encore dans l'urine "d'un bouc de trois ans, nourri exclusivement de fougères depuis trois jours " - on est loin du traitement du métal à l'acide de nos jours!
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